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TRANSAT2 Archives 2019

Notre projet pour Transat

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Note: Voici une partie de notre vision et de notre plan si nous sommes l'acquéreur de Transat :

LA MEILLEURE ÉQUIPE... ET DANS LE SECTEUR AÉRIEN!

LE MEILLEUR PLAN D'AFFAIRES RÉVISÉ DÉVELOPPANT LES AXES DE CROISSANCE POUR L'ENTREPRISE, SA DIRECTION, SES EMPLOYÉS ET SES CLIENTS.

Transat est unique. Transat fait rêver. Plus que pour les autres, Transat fait partie du rêve des Québécois et des Canadiens.

De plus, Transat vous aide à réaliser vos rêves! Transat vous envole, vous loge, vous fait découvrir, puis vous ramène à la maison. Le Sud: la mer, les palmiers. L'Europe: Paris, Londres, Athènes...

Transat c'est déjà plus de 30 millions de journées-employés et 100 millions de passagers!

Transat  , ou Transat au carré, c'est dynamique et positif!

Notre plan est d'acquérir et privatiser Transat A.T. en collaboration avec nos partenaires qui sont entre autres des institutions locales qui gèrent vos fonds de pension.

 

L'équipe de FNC Capital appuiera la direction actuelle afin de rectifier la rentabilité, d'accélérer la croissance et d'augmenter la valeur. Transat   fleurira dans le transport, le voyage et l'hôtellerie.

C'est le plan d'un nouvel envol pour Transat  , ses actionnaires, sa direction, ses employés, ses fournisseurs et ses clients!

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LA DEUXIÈME LETTRE  (20 AOÛT 2019)

AIR CANADA ET TRANSAT... VERS UN QUASI-MONOPOLE? NON!

Est-ce que l’industrie aérienne canadienne se dirige vers un quasi-monopole avec Air Canada? À ma grande surprise, le marché financier canadien ne semble pas avoir beaucoup d'appétit pour supporter le 3e joueur dans l'industrie aérienne, Transat.

Après trois mois, personne n'a voulu ou n'a réussi à déposer une offre concurrente à celle d'Air Canada. Du côté de FNC, on a tout tenté pour le faire... mais malheureusement sans solution complète pour le moment.

Le marché financier semble avoir peur de s'engager et d'offusquer le plus gros joueur de l'industrie, souvent compromettant de nombreuses relations d'affaires déjà existantes ou futures. Il pourrait avoir peur de ses réactions commerciales sur le 3e joueur de l'industrie, employant tout de même 5 000 personnes et générant près de 3B$ de ventes avec succès et appréciation auprès des consommateurs québécois et canadiens.

 

La peur élimine la prise de risque, l’investissement et l’innovation. Elle favorise le statu quo et la prise de profit. Ça ne peut durer. On élit des gouvernements pour veiller aux plus grands intérêts de notre société. Et quand c’est le temps, ils doivent agir. De découper Transat n’est pas une solution acceptable!

Selon moi, Air Canada est déjà trop gros pour le marché canadien. Combiné, Air Canada et Transat généreraient plus de 22 milliards de dollars, soit quatre fois plus alors que le deuxième plus gros joueur WestJet avec ses 4.7 milliards de dollars. Air Canada doit réaliser plus de la moitié des profits de l'industrie aérienne déjà. C'est ainsi facile de consolider n'importe quel autre joueur public sans autre contrainte.

 

Les consommateurs peuvent-ils vraiment en sortir gagnants avec cette consolidation? Ensuite le "too big to fail" prend la relève, où viennent en rescousse les petits fournisseurs et les gouvernements de ces mêmes consommateurs encore bafoués. Et cette grande entreprise n'en est pas à l'abri, comme on le sait déjà.

Et dans le même sens, serait-il bon que Bell acquière Québécor, que la Banque Royale achète la Banque Nationale et que Loblaws achète Métro? Ne bâtissons pas des groupes que nous devrons défaire plus tard. Soyons plus visionnaires et meilleurs!

Futures Propriétaires

Travaillons sur un prix minimum sensé que j'avais établi dans ma première lettre du 24 juin, soit 18 dollars par action, et choisissons ensemble le meilleur propriétaire de Transat pour nous tous à présent.

Le marché nous dit que Transat demeurera trop fragile sans un grand frère à ses côtés. Logiquement, ce pourrait être ONEX/WestJet, Air France-KLM, Delta. FNC Capital en a contacté d’autres. Pour différentes raisons, personne ne semble venir à la table avant le 23 août. L'industrie serait bien plus compétitive dans un de ses scénarios plutôt que celui d'Air Canada, aux bénéfices des consommateurs.

 

Comme prometteur d'un groupe d'acquisition, nous n'avons pas à notre tête un milliardaire mais Dominik Pigeon et des personnes passionnées par l'opportunité qu'offre Transat et son industrie, dont un ancien dirigeant de Transat, M. Thierry Briand qui est né dans l'industrie, et M. Gregg Saretsky, ancien PDG de WestJet pendant près de 10 ans, né au Québec et parfaitement bilingue, un champion de l'industrie aérienne, qui pourrait se joindre tôt en septembre après l’expiration de son entente de non-concurrence avec WestJet. Nous sommes ouverts aux associations de groupes. Nous avons des projets d'alliances commerciales importants afin de solidifier Transat et des produits excitants pour les clients de Transat.

 

Nous travaillons à temps plein à monter une offre aux actionnaires à au moins 18$ l'action, une offre durable. Mais nous ne sommes pas près pour le 23 août vu les embûches du marché avec un Air Canada qui a bénéficié tout de même des avantages octroyés par le conseil très tôt dans le processus, profitant du moment de la transaction sur WestJet et de la période estivale avec son prix plancher infructueux. D'ailleurs la hausse de prix de 13$ à 18$ d'Air Canada est attribuable à quoi pensez-vous?

Si les actionnaires disent NON à la proposition d'Air Canada le 23 août, le niveau de jeu sera bien plus sain pour les autres groupes intéressés et FNC y travaillera avec acharnement afin de récompenser correctement ceux qui ont bâti et supporté Transat!

 

Merci.

 

Dominik Pigeon

Président

FNC Capital

LA PREMIÈRE LETTRE  (24 JUIN 2019)

Je souhaite partager certaines informations avec les actionnaires actuels de Transat. Ce sont tout de même des Québécois et des Canadiens, des dirigeants et des employés, nos propres fonds de pension et peut-être de la famille et des amis aussi. Je crois que la société Transat vaut bien plus que ce que les deux autres prétendants ont offert aux actionnaires.

Les analystes financiers des banques et le marché ont sous-estimé signativement nos compagnies aériennes. Les temps ont changé. Au cours des dernières décennies, le prix du billet d'avion a baissé considérablement relativement au pouvoir d'achat des gens. Les communications ont explosé. L'immigration est plus présente. La majorité d'entre nous souhaite voyager d'avantage: plus souvent, plus loin et plus longtemps. Je possède la capacité et une très bonne équipe pour évaluer Transat, mais surtout pour en prendre soin et la faire grandir dans le temps avec ceux qui nous accompagneront. Nous combinons plus de 70 ans d'expérience dans le secteur aérien. Lorsque l'on souhaite se commettre durant au moins 10 à 20 ans, le prix initial n'est pas l'élément le plus important. Les employés et la clientèle comptent pour plus!


Considérant deux parties visibles déjà intéressées mais qui n'ont toujours pas fait d'offre formelle sans conditions importantes dont Air Canada (en contenu tout de même et ayant eu droit sur une très longue période à de l'information privilégiée sur une base exclusive et d'autres avantages en échange d'un prix plancher conservateur de 13$ très tôt dans le processus, ralentissant d'autres groupes) et Groupe Mach (avec ou sans les Saputo ou autres) ainsi que les groupes potentiellement intéressés, tels que M. Péladeau, Claridge (Bronfman) ou Sagard (Desmarais), j'ai avisé mon groupe que selon mon pressentiment cette transaction historique ne se fera pas sous les 18 dollars l'action.
 

FNC Capital travaille à produire une offre amicale au conseil d'administration de Transat A.T. pour ses actionnaires, et considère actuellement une fourchette de prix entre 17 et 20 dollars l'action, et peut-être plus éventuellement.

 

Je suis bien équipé pour faire face à la musique au niveau opérationnel et nous sommes confiants. Je ne pourrai répondre à toutes les questions de tous les journalistes ni accepter toutes les invitations malheureusement. Je ne dévoilerai pas les membres de mon équipe afin de ne pas nous affaiblir face aux autres groupes. Ne cherchons pas déjà la finalité, elle viendra graduellement jusqu'en septembre. Ce sera fort probablement un dur et long combat, bien plus relevé que ce que les gens s'attendent actuellement.
 

J'annonce que je serai là jusqu'à la fin.

Dominik Pigeon
FNC Capital

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